[Clan Racial Orque] Kölan Oroka

Les meilleurs messagers Nerugas parcouraient le monde, répandant la nouvelle dans toutes les ambassades orques. Rien ne les stoppait dans leur course effrénée, ne s’arrêtant que quelques heures à destination, profitant d’un bon repos sur les couches d’hôtes des ambassades.
Ce message était répété par les shamans, à tout orque qui passait reporter ses exploits, toute femme venu confier son enfant avant d’aller combat. Ce message, transmis en langue de feu, était clair :
« Oroka !
Profitons de ce mince filet de paix pour nous occuper de notre véritable ennemi,
L’esprit Kasha souille nos terres, pourrit notre gibier et pense ainsi nous affaiblir !
Allons-nous lui laisser croire que nous sommes sans ressource ? Non !
Prenez les armes et joignez notre épopée, ce n’est pas le sang ni la fatigue qui nous arrêterons !
Trouvons de nouvelles terres, reprenons des forces, nourrissons nos enfants et formons de nouveaux Guerriers, d’impitoyables traqueurs.
Trouvons la tanière de Kasha et repoussons-le pour reprendre nos terres.
N’allez-vous rien faire contre sa morsure glacée ? Voulez-vous voir vos enfants devenir des charognards ?
Allez-vous accepter sa corruption ?
Non !
Unissez-vous, montrez la puissance des Orques face à l’incarnation du Grand Hiver.
Nous ne la craignons pas, et seul, Pa’agrio, est en mesure de juger la bonté de nos actes !
Rejoignez vos frères et prenez part au combat! »
Ce message fit le tour du continent en moins de trois jours et eut un certains effets sur les tribus qui parsemaient le monde.
Des mercenaires orques abandonnaient des campements de batailles en pleine nuit, en toute discrétion.
Les bruyants fortins orque, ornées de hampes sur lesquelles les têtes ennemis prévenaient danger d’un air livide, se retrouvaient vides au petit matin, ne laissant pour vie qu’une fumerole d’un feu mal éteint.
Bien des commerçants voyageant sur les routes furent effrayés de croiser de petits contingents orques,
baluchon sur l’épaule, remonter les routes du Nord, sans même se soucier des vendeurs pétrifiés.
Dans les montagnes, des familles entière de chasseurs nomades migraient vers le nord, empruntant les chemins escarpés. Les enfants orques n’étaient pas en reste, portant leur propre sac et leur petit gourdin de bois.
Une nouvelle odyssée commençait chez les orques, la chance de libérer leurs clans et laisser son nom dans l’histoire faisait battre le cœur de tout fils de Pa’agrio en mesure de tenir une arme.
Parmi ces guerriers et ces mages, des fils et des filles de Pa’agrio se démarquèrent pour leurs talents.
Des champions de toutes tribus allaient se réunir pour représenter le peuple orque et les guider.
L’épopée orque, le Kölan Oroka commençait.
Ce message était répété par les shamans, à tout orque qui passait reporter ses exploits, toute femme venu confier son enfant avant d’aller combat. Ce message, transmis en langue de feu, était clair :
« Oroka !
Profitons de ce mince filet de paix pour nous occuper de notre véritable ennemi,
L’esprit Kasha souille nos terres, pourrit notre gibier et pense ainsi nous affaiblir !
Allons-nous lui laisser croire que nous sommes sans ressource ? Non !
Prenez les armes et joignez notre épopée, ce n’est pas le sang ni la fatigue qui nous arrêterons !
Trouvons de nouvelles terres, reprenons des forces, nourrissons nos enfants et formons de nouveaux Guerriers, d’impitoyables traqueurs.
Trouvons la tanière de Kasha et repoussons-le pour reprendre nos terres.
N’allez-vous rien faire contre sa morsure glacée ? Voulez-vous voir vos enfants devenir des charognards ?
Allez-vous accepter sa corruption ?
Non !
Unissez-vous, montrez la puissance des Orques face à l’incarnation du Grand Hiver.
Nous ne la craignons pas, et seul, Pa’agrio, est en mesure de juger la bonté de nos actes !
Rejoignez vos frères et prenez part au combat! »
Ce message fit le tour du continent en moins de trois jours et eut un certains effets sur les tribus qui parsemaient le monde.
Des mercenaires orques abandonnaient des campements de batailles en pleine nuit, en toute discrétion.
Les bruyants fortins orque, ornées de hampes sur lesquelles les têtes ennemis prévenaient danger d’un air livide, se retrouvaient vides au petit matin, ne laissant pour vie qu’une fumerole d’un feu mal éteint.
Bien des commerçants voyageant sur les routes furent effrayés de croiser de petits contingents orques,
baluchon sur l’épaule, remonter les routes du Nord, sans même se soucier des vendeurs pétrifiés.
Dans les montagnes, des familles entière de chasseurs nomades migraient vers le nord, empruntant les chemins escarpés. Les enfants orques n’étaient pas en reste, portant leur propre sac et leur petit gourdin de bois.
Une nouvelle odyssée commençait chez les orques, la chance de libérer leurs clans et laisser son nom dans l’histoire faisait battre le cœur de tout fils de Pa’agrio en mesure de tenir une arme.
Parmi ces guerriers et ces mages, des fils et des filles de Pa’agrio se démarquèrent pour leurs talents.
Des champions de toutes tribus allaient se réunir pour représenter le peuple orque et les guider.
L’épopée orque, le Kölan Oroka commençait.
Spoiler: show